Fabrication de vin de fruits.
Ingrédients pour 10 litres de vin.
2 kg de bananes épluchées.
10 litres d’eau.
500 gr de raisins secs.
2.5 kg de sucre.
40 gr d’acide tartrique.
5 gr de sels nutritifs.
5 gr de trizyme ou 5 gr d’amylase (indispensable pour une bonne clarification, la banane contenant beaucoup d’amidon).
1 levure type Sauternes ou Fermiblanc.Procédure.
Les mettre dans 4 litres d’eau avec les raisins secs et faire bouillir pendant 20 minutes (attention à la mousse). Après 24 heures, filtrer à travers une étamine et mettre le jus dans une tourie.
Mettre également dans la tourie le reste d’eau pour faire les 10 litres, 1,5 kg de sucre, les sels nutritifs, le trizyme et la levure sélectionnée.
Placer la tourie équipée de son barboteur dans un local à 20 °C.
Après 5 jours, mettre le sucre restant (1 kg).
Après 4 à 6 semaines, la fermentation est terminée.
Faire un soutirage par siphonage dans une tourie plus petite pour la remplir au maximum. Placer la tourie à la cave pour favoriser la clarification du vin par le froid.
Après 1, 3 et 6 mois, refaire un soutirage.
Après 1 an quand le vin est parfaitement clair, faire un dernier soutirage et le mettre en bouteilles.
Vin à servir très frais et pouvant également servir de base à un mélange cocktail.
Le site est animé par Chef Damien
et Chef Christophe,
professeurs de cuisine en Lycée Hôtelier http://www.750g.com/
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- Origine
Une hypothèse récente est que la domestication des bananes Eumusa se soit produite il y a environ 10 000 ans, dans les hautes terres de Nouvelle-Guinée. La variété Musa acuminata banksii, à l'origine de la plupart de celles qui sont cultivées aujourd'hui, y serait née et se serait ensuite répandue en Asie du Sud-Est où elle se serait hybridée avec les variétés locales[2]. Les formes sauvages Musa acuminata et Musa balbisiana, se rencontrent encore aujourd'hui dans une grande partie du Sud Est Asiatique, de l'Inde à la Papouasie-Nouvelle-Guinée.
SélectionLa sélection par l'homme a permis au fil des siècles de créer les variétés consommées de nos jours. Plusieurs équipes de recherche développent actuellement des programmes d'amélioration variétale du bananier à travers le monde, comme la Katholieke Universiteit de Leuven (Belgique), le Cirad aux Antilles françaises, l'Embrapa au Brésil, la FHIA au Honduras, le CARBAP au Cameroun et de nombreux autres organismes en Inde, au Viêt Nam, en Afrique... Selon les écoles, les stratégies d'amélioration sont variées, mais reposent toutes plus ou moins sur des biotechnologies modernes. Elles permettent de créer de nouvelles variétés plus résistantes aux parasites et ravageurs de cette culture. La recherche internationale sur le Bananier est fédérée par l'INIBAP, une organisation internationale membre du CGIAR. L'INIBAP gère entre autres une banque de gènes du bananier, stockée in vitro à Louvain (Belgique) ainsi qu'une base de données sur les ressources génétiques du bananier appelée Musa Germplasm Information System (MGIS[3]). Le système d'information sur les ressources génétiques de Musa contient une information détaillée et standardisée sur les accessions détenues par de nombreuses banques de gènes autour du monde.
Lien;
http://fr.wikipedia.org/wiki/Musa_Germplasm_Information_System